26.09.2025 / 4 minutes de lecture
Un vent de panique traverse une partie de la classe politique française après la condamnation en première instance de Nicolas Sarkozy ce jeudi 25 septembre à cinq ans de prison ferme. Le verdict, inédit par sa sévérité, qui plus est envers un ex-chef de l’Etat, semble faire trembler des élus. Surtout à droite et à l’extrême-droite. Au point que des voix se font entendre pour réclamer une grâce présidentielle à Emmanuel Macron.
C’est le cas du sénateur LR Stéphane Le Rudulier, rejoint par Henri Guaino, l’ancien conseiller spécial et plume de Sarko. « Il pourrait être gracié sur la peine complémentaire, l’exécution provisoire », glisse-t-il au lendemain de la déflagration judiciaire. Il avait déjà appelé l’actuel président à gracier Marine Le Pen après l’exécution Lire la suite.