19.11.2025 / 6 minutes de lecture
« Je ne lui ai [Emmanuel Macron] pas pardonné d’avoir orchestré les ventes d’entreprises stratégiques. » Les premières pages du livre posthume d’Olivier Marleix, « Dissolution française, la fin du macronisme », paru le 13 novembre aux éditions Robert Laffont, annoncent la couleur. En 2018, ce cadre historique des Républicains (LR) présidait une commission d’enquête sur la vente de la branche « énergie » d’Alstom au géant américain General Electric, orchestrée par Emmanuel Macron en 2014, alors ministre de l’Economie. Olivier Marleix découvre à ce moment « d’étonnantes résonances entre les bénéficiaires de ces ventes et les financeurs de la campagne de Macron » de 2017. Le point de départ d’une série de « choix funestes », opérés par un président incapable de « préserver la nation », estime-t-il. Lire la suite.