Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, correspondant) Publié aujourd’hui à 13h00
Près de treize mois après l’éclatement du « Qatargate », un scandale de corruption visant des membres du Parlement européen qui implique aussi le Maroc et la Mauritanie, les questions sur la conduite de cette enquête se multiplient à Bruxelles. Au point que certaines sources évoquent désormais un enlisement qui pourrait même aboutir à l’abandon des poursuites. Lire la suite.