« Dulcie September [représentante à Paris de l’ANC, le parti de Mandela] a été tuée le 29 mars 1988 par les services secrets sud-africains avec la complicité passive des services secrets français […]. [Ceux-ci] n’ont pas participé directement à l’attentat. Mais ils étaient au courant de sa préparation. […] Dulcie September s’intéressait de trop près au commerce des armes entre Paris et Pretoria ». (Peter HERMES, directeur de l’Institut néerlandais pour l’Afrique australe, cité par Libération du 13/11/1997). [Peter Hermes reprend à son compte un certain nombre d’éléments parus dans la presse française, impliquant l’entourage de Charles Pasqua, alors ministre de l’Intérieur].
Extraits de Billets d’Afrique et d’ailleurs la revue de Survie de décembre 1997