Paradoxes de la finance islamique

Samedi 1er septembre 2001 — Dernier ajout jeudi 17 mai 2007

LES PRINCIPES RELIGIEUX À L’ÉPREUVE DE LA MONDIALISATION

Paradoxes de la finance islamique

Nées dans les années 1970, les institutions financières islamiques opèrent dans plus de soixante-quinze pays.

Apparemment paradoxal dans le contexte d’une religion qui réprouve les gains générés par le prêt, leur développement a d’abord correspondu à l’éveil de l’islam politique. Mais il a survécu à son déclin, trouvant une nouvelle jeunesse dans l’essor de la mondialisation financière.

Les fonds islamiques, fondés sur le partage des profits et des pertes, ou, plus prosaïquement, sur des investissements dans les secteurs dont le caractère licite est établi, coexistent désormais avec d’autres produits financiers « éthiques ».

Par Ibrahim Warde.

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