Etre riche, tout un art

Lundi 10 septembre 2007 — Dernier ajout mercredi 19 décembre 2007

Etre riche, tout un art.

Michel David-Weill, 75 ans. A la tête de la banque Lazard, il fut longtemps un homme influent et secret. Retiré des affaires, ce collectionneur découvre la liberté de parole.

Par Luc Levaillant

QUOTIDIEN : lundi 10 septembre 2007

Extrait de l’article en ligne sur le site du journal Libération :

Surtout, Lazard était une affaire de famille, qu’il a dû céder après un long conflit avec le manager qu’il avait placé. Ses grand-père et père avaient dirigé la banque avant lui. Aucune de ses quatre filles n’a souhaité prendre la relève, rebutées par cet univers resté très masculin. Elles travaillent chez Sotheby’s, œuvrent dans le cinéma, rédigent des romans ou des scénarios.

Il avait bien tenté de mettre l’un de ses gendres en situation, cela dégénéra en bras de fer quand celui-ci voulut l’éjecter. Il s’agissait d’Edouard Stern, assassiné depuis.

David-Weill en dit : « Qu’Edouard ait disparu de mort violente n’est pas pour me surprendre. C’était un homme extrêmement intelligent et séducteur, mais assez destructeur. Il avait, ancré en lui, ce goût du risque qui le conduisait à se mettre dans un très grand danger. »

Lire la suite de l’article sur le site de Libération.

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